Les voyages d'Alice

Après l’extase, c’est le maelström dans son cerveau, un véritable cyclone ! Les vagues, telles des lignes d’électrocardiogramme, ondulent sous les coups du ressac. On devine en Alice la mort en transparence… Elle aura eu beau, pendant longtemps, se boucher les oreilles pour résister aux chants des sirènes, ça n’aura pas suffi… Il ne lui reste plus longtemps à « survivre ».
Huile et acrylique sur toile
100 x 129 cm