Huile sur toile fine, en mauvais état (non restaurée), 104 x 136 cm.
Signature partiellement effacée en bas à droite de la toile, sans titre, avec date 1888.
Collection privée.
Une œuvre différente et largement empruntée aux estampes japonaises.
Il s’agit quasiment de la même composition originale que l’estampe qui a servi d’inspiration, mais au lieu de cernes noires qui habituellement entourent les japonaises au teint pâle, ici c’est l’inverse, les personnages sont des hommes et sont cernés de blanc.
On assiste à une scène de voyeurisme où une personne cachée observe deux hommes au bord de l’eau avec un vivo (flûte nasale).
… D’après une vraie histoire fausse par Gaya…